Une méthode pédagogique et citoyenne pratiquée dans certaines communes. Le mouvement citoyen « Les Ciotadens » propose de la mettre en place à La Ciotat.

Les automobilistes de La Ciotat pourraient prochainement se réjouir : Il va falloir néanmoins, attendre probablement le résultat des élections municipales de mars 2020. Le mouvement citoyen « Les Ciotadens » présidé par Lionel Giusti ancien conseiller municipal, propose de mettre en place à La Ciotat, le « PV citoyen ».

"RESPECTER LE STATIONNEMENT ET « LE PORTEFEUILLE » POUR LE BIEN DE TOUS"

Un papillon posé sur le pare brise comme à l'ancienne, clairement identifiable par ses couleurs rouge et vert, pourrait faire mention de l'infraction commise « Le contrevenant se verra alerté par une "contravention pédagogique" à l'allure de l'ancien PV mais qui au final n'en sera pas un. Le « papillon » sera posé physiquement sur le véhicule ou le scooter par l'agent verbalisateur qui dans ce cas aura plutôt un rôle de médiateur. Ce dispositif aura deux avan-tages, il permettra de dissuader les fautifs et de renouer le contact entre l'agent municipal et le citoyen, le cas échéant.

Délivré de façon aléatoire à des dates inconnues du public, le PV citoyen n'empêchera pas néanmoins, les automobilistes et/ou les motards récidivistes de recevoir le vrai PV. Sous la forme d'un avertissement, la méthode préventive permettra de soulager le portefeuille des Ciotadens » précise la proposition diffusée sur le site internet du mouvement citoyen.

De façon pédagogique, plusieurs municipalités en France ont diffusé des avertissements concernant le stationnement gênant et ce, malgré une ancienne circulaire du ministère de l'Intérieur, datant de 1993, qui déconseille leur utilisation.

Photo : DR
La rédaction

Depuis quelques jours, la rumeur d'une augmentation de l'échangeur n°9 situé à La Ciotat, enflamme les réseaux sociaux.

Depuis quelques jours, la rumeur circule sur les réseaux sociaux « le tarif du péage autoroutier de La Ciotat subirait une augmentation de 0,50 centimes d'euros ! »

Des automobilistes auraient même aperçu lundi soir, le montant "1€80" affiché sur le panneau situé sur l'autoroute A50 en amont de la sortie La Ciotat en direction de l'échangeur n°9 (notre photo).

Contactée par Radio La Ciotat Fréquence Nautique, la société concessionnaire Vinci Autoroute, indique que "les augmentations des péages sont réglementées et effectuées à des dates précises. Cette année, elles ont été réalisées le 1er février". Pas de crainte à avoir, donc.

En ce qui concerne l'inscription d'1€80 aperçu sur un panneau, le mystère demeure...

Photo : AC
La rédaction

Deux individus suspectés de dégradations et vols sur des voitures stationnées, ont été interpellés dans des quartiers différents.

La semaine dernière, les policiers ont interpellé un homme originaire de Marseille. Il est soupçonné d'avoir vandalisé plusieurs véhicules stationnés sur l'avenue Victor Basch et sur le parking de la Pétanque à La Ciotat. Des faits qui remontent à la fin de l'année 2018.

Le voleur présumé devra comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel de Marseille pour vols en réunion et destruction.

Dans le même chapitre, un individu suspect en train de s'attarder sur une serrure d'une voiture stationnée sur l'avenue Cytharista à La Ciotat, a été arrêté la semaine dernière, lors d'une patrouille de police.

Une interpellation que serait déroulée dans des conditions difficiles, le suspect refusant de se faire emmener au commissariat ou il a finalement été entendu. Le parquet de Marseille a été avisé.

Photo : CB - Archive
La rédaction

Le fonctionnaire de police voulait soulager son mal au dos. Une version qui n' a visiblement pas convaincu le parquet.

Un fonctionnaire de police âgé de 44 ans exerçant au commissariat de La Ciotat a comparu lundi dernier, devant le tribunal correctionnel de Marseille. Il est soupçonné d'avoir consommé et cultivé du cannabis. La perquisition effectuée à son domicile a permis de constater la présence d'une armoire dans le garage, dans laquelle poussaient deux plantes d'environ 1 mètre chacune, de hauteur.

Pour se justifier, le policier a évoqué des soins thérapeutiques suite à un mal au dos persistant. Une explication non suivie de justificatifs qui n'a pas convaincu le procureur.

Le fonctionnaire de police est aussi renvoyé devant le tribunal pour des soupçons de corruption avec un ami restaurateur. Sa future ex-femme aurait témoigné à charge, ses propos auraient néanmoins, été balayés par le prévenu puisqu'ils interviendraient dans le cadre d'un divorce considéré comme plutôt "agité".

Le parquet de Marseille a réclamé une peine de 18 mois de prison avec sursis. Le jugement a été mis en délibéré. Le tribunal correctionnel de Marseille rendra sa décision le 3 mai prochain.

Photo : Illustration
La rédaction.