

La mairie de La Ciotat a lancé un appel d’offres pour la construction d’une ombrière partiellement démontable sur le Quai Ganteaume, face au Musée du Vieux La Ciotat.
Destiné à offrir davantage de bien-être et de fraîcheur aux habitants et visiteurs, cet équipement viendra structurer un espace clé du port, aujourd’hui aménagé en promenade avec un platelage en bois et du mobilier urbain. Une réhabilation réalisée en 2018 ayant fait l'objet de nombreuses réclamations concernant l'absence d'ombre et de végétaux.
25 M DE LONG
L'ombrière du quai Ganteaume pourrait ressembler au modèle ci-dessus, un mobilier emblématique et saisonnier. (Photo : visuel d'illustration)
L’ombrière, qui mesurera 25 mètres de long sur 5 mètres de large, sera installée sur l’ancien « glacis », un lieu stratégique qui sert de parvis au musée et de point de départ des navettes touristiques vers les calanques.
Conçu pour être démontable en hiver, ce mobilier urbain s’inscrit dans une logique de réversibilité, afin d’adapter l’espace aux saisons et aux usages.
À travers ce projet, la ville entend conjuguer esthétique et fonctionnalité, en créant une structure emblématique qui respecte l’environnement du Vieux-Port tout en améliorant le confort des passants.
L'abattage de l'arbre est prévu le lundi 17 mars 2025. La mairie de La Ciotat évoque "un risque de chute".
Après l'émotion populaire autour de l'abattage d'un micocoulier sur la place kranj, voilà une décision qui risque de faire réagir à nouveau.
Le corps sans vie de Paul Grelet, 29 ans, a été retrouvé ce jeudi 13 mars, une semaine après sa disparition signalée le 6 mars dernier.
Originaire de La Cadière-d’Azur, dans le Var, le jeune homme n’avait plus donné signe de vie depuis cette date, suscitant l’inquiétude de ses proches et des autorités.
DES INDICES AUTOUR DE ROQUEFORT-LA-BÉDOULE
Les investigations s’étaient concentrées autour de Roquefort-la-Bédoule, à la frontière entre le Var et les Bouches-du-Rhône, où sa Renault Clio avait été retrouvée en bordure de la route départementale 3, près du domaine du Gros Driou.
La gendarmerie d’Aubagne avait lancé un appel à témoins le 9 mars, relayé massivement sur les réseaux sociaux, pour tenter de localiser le disparu.
CIRCONSTANCES DU DÉCÈS ?
À ce stade, les autorités n’ont pas communiqué sur les circonstances de la découverte du corps ni sur les causes du décès. Une enquête est en cours pour faire toute la lumière sur cette affaire qui a profondément marqué la communauté locale.
Avec l'aide de l'intelligence artificielle (IA), une entreprise Ciotadenne a imaginé le bord de mer de La Ciotat en 2055. Si la vision futuriste est plutôt réussie, son image fascine ou inquiète...
La société de production vidéo "The RockTeam Studio", basée à La Ciotat, a récemment dévoilé une image surprenante du littoral ciotaden… en 2055. Publiée sur les réseaux sociaux, cette projection futuriste, réalisée grâce à l’intelligence artificielle, ne manque pas de faire réagir.
L’image en question met en scène une métamorphose profonde du bord de mer entre l’avenue du Président Wilson et le quartier de Saint-Jean. On y devine une urbanisation accrue, une extension du port de Saint-Jean et un développement touristique assumé, transformant le visage de la ville.
Cette vision d’avenir illustre une La Ciotat devenue une véritable station balnéaire, où le patrimoine maritime et l’identité locale semblent s’effacer au profit d’une modernité omniprésente.
TRANSFORMATION RADICALE DU LITTORAL
Si certains saluent une projection audacieuse et séduisante, d’autres y voient une perte d’âme irréversible pour la ville.
Loin d’être un projet réel, cette simulation soulève néanmoins une question essentielle : quelle évolution pour La Ciotat dans les décennies à venir ? Cette vision futuriste est-elle une simple extrapolation ou une anticipation d’une tendance déjà en marche ?
Quoi qu’il en soit, cette image générée par IA alimente le débat et rappelle que l’avenir d’une ville est aussi une affaire de choix, entre préservation et transformation.
Claude M.S, 70 ans environ, résident de La Ciotat, a récemment vécu une épreuve marquante : une attaque cardiaque en pleine nuit. Dans un témoignage sincère, il raconte son expérience et rend hommage aux soignants qui l’ont pris en charge avec efficacité et dévouement.
Tout commence dans la nuit du mercredi 5 mars 2025, aux alentours de 4 heures du matin. Une douleur soudaine à la poitrine l’alerte. Conscient de l’urgence, il ne prend aucun risque et appelle immédiatement le SAMU. En moins de 30 minutes, pompiers et ambulance sont sur place.
ABSENCE D'UN SERVICE CARDIOLOGIE À LA CIOTAT
L’absence d’un service d’urgence cardiaque à La Ciotat oblige son transfert vers la clinique de Casamance, où il est rapidement pris en charge.
Sur place, les médecins procèdent à une exploration des coronaires, réalisent un débouchage des artères et posent des stents. Il est ensuite placé en soins intensifs, sous la surveillance constante d’une équipe médicale engagée, présente à toute heure du jour et de la nuit.
Après plusieurs jours d’hospitalisation, Claude M.S. rentre chez lui le lundi 10 mars au matin, soulagé et reconnaissant. “Et ça repart”, dit-il avec optimisme, saluant le travail des urgentistes, infirmières, médecins et chirurgiens qui l’ont accompagné dans cette épreuve.
"ON EST BIEN SOIGNÉ EN FRANCE"
À travers son témoignage, il rappelle l’importance d’une réaction rapide face à une douleur thoracique et met en lumière la qualité du système de soins en France. Son message est clair : face à une urgence cardiaque, ne pas attendre et appeler immédiatement les secours peut sauver des vies.
En savoir plus => Faits-divers, société, culture, politique, sport... Ecoutez l'actualité de La Ciotat & environs sur Radio La Ciotat Fréquence Nautique - 107 FM, édition locale à 9h, (rediffusion à 12h15, 16h30 et 19h).