

Tôt ce samedi matin un accident s'est produit sur l'A50 à hauteur de Cassis. Les trois voies ont dû être fermées pendant plusieurs heures.
Cette déviation a permis de dégager progressiverment le trafic malgré l'incident et des embouteillages majeurs.
Les causes de l'accident ainsi que d'éventuels blessés n'ont pas encore été communiqués par les autorités.
Les usagers de la route sont invités à rester prudents et à suivre les indications des services de secours en cas de perturbation similaire. La circulation a été rétablie progressivement, mais des ralentissements ont été signalés jusqu'en fin de matinée.
Une scène a été tournée ce vendredi après-midi sur le port de La Ciotat, en présence du réalisateur Olivier Marchal.
Après le succès de la première saison, "Pax Massilia", la série policière créée par Olivier Marchal, revient pour une deuxième saison qui sera prochainement diffusée sur Netflix. Inspirée de l’univers sombre et intense du réalisateur, cette fiction plonge au cœur du crime organisé marseillais avec une mise en scène ultra-réaliste et des personnages marqués par la violence et la corruption.
Ce vendredi 21 février 2025, en après-midi, les équipes de tournage ont posé leurs caméras sur le Port de La Ciotat pour tourner une séquence clé de la série. Entre figurants, techniciens et acteurs, l’effervescence était au rendez-vous, suscitant la curiosité des passants venus observer les coulisses de la production.
Connu pour son style percutant et ses scènes d’action intenses, Olivier Marchal a une nouvelle fois misé sur un décor authentique pour renforcer l’atmosphère réaliste de Pax Massilia. Le choix du port de La Ciotat, avec son cadre à la fois pittoresque et industriel, apporte une touche supplémentaire à l’univers sombre de la série.
UNE DIFFUSION ATTENDUE SUR NETFLIX
Si aucune date officielle n’a encore été annoncée, la deuxième saison de Pax Massilia est attendue avec impatience par les amateurs de polars musclés. Avec ce nouveau volet, Olivier Marchal promet de pousser encore plus loin l’intensité dramatique et les affrontements entre forces de l’ordre et criminels marseillais.
Une chose est sûre : La Ciotat s’est offert une place de choix dans l’un des thrillers les plus attendus de l’année.
Ce vendredi 21 février, l’abattage d’un arbre emblématique de la place Kranj, anciennement appelée « Jardin des Noirs », a suscité une vive émotion parmi les habitants de La Ciotat.
Sur un réseau social bien connu, de nombreux internautes se sont indignés de la disparition de cet arbre, présent depuis plusieurs décennies. Certains riverains affirment qu’il ne présentait aucun signe de maladie et dénoncent une intervention jugée brutale et injustifiée.
INTERVENTION CONTREVERSÉE
D’après plusieurs témoignages, une entreprise privée serait récemment intervenue pour procéder à l’abattage, sans qu’aucune information préalable n’ait été communiquée aux habitants. Très vite, la polémique s’est amplifiée, alimentée par des photos et des commentaires relayés sur la toile.
Ci-dessus, la capture d'écran de la publication qui ce vendredi, a indigné de nombreux internautes. Elle a été supprimée depuis. (Facebook)
Face aux nombreuses réactions, la municipalité de La Ciotat a publié un communiqué expliquant les raisons de cet abattage. Selon les services des Espaces Verts, le micocoulier en question aurait été atteint par un champignon, le polypore hérissé, rendant sa conservation impossible en raison des risques de rupture. Une expertise aurait confirmé la nécessité de cette intervention pour des raisons de sécurité.
Pour tenter d’apaiser les tensions, la mairie a annoncé qu’un nouvel arbre serait prochainement planté au même emplacement.
Reste à savoir si cette mesure suffira à calmer la colère des habitants, visiblement attachés à leur patrimoine végétal et soucieux de la préservation des espaces verts en ville. À croire de la communication municipale "Aux arbres Citoyens" a fait son effet auprès de la population locale.
Parmi les élements encore présents sur les lieux de l'accident, le pare-choc avant d'une voiture.
Depuis le 17 février, 130 des 300 salariés de l’usine "Ardagh Metal Packaging (AMP)" à La Ciotat sont en grève pour dénoncer la stagnation des salaires et la dégradation de leurs conditions de travail. Malgré une production en forte hausse et des bénéfices records, l’intéressement des employés a diminué, et leurs salaires restent proches du SMIC.
Les ouvriers dénoncent des conditions de travail de plus en plus pénibles. « Les conditions se sont dégradées depuis un an. Nous avons connu 11 accidents du travail, un record, alors qu’il n’y en avait eu aucun auparavant », témoigne une salariée au micro de Fréquence Nautique.
Elle pointe du doigt la panne des robots censés porter des charges lourdes (des blocs d’aluminium de plus de 30 kg), obligeant les opérateurs à effectuer cette tâche difficile en continu pendant huit heures.
De plus, les systèmes d’aspiration des produits nocifs sont hors service depuis au moins deux ans, exposant les ouvriers aux vapeurs de substances comme le sulfate de cuivre.
La CGT, qui réclame une hausse des salaires et des primes, accuse la direction de ne pas prendre en compte ces problématiques. Malgré plusieurs alertes, aucune visite de l’inspection du travail n’a eu lieu, et la direction refuse de répondre aux sollicitations.
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