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Repas dans les cantines de La Ciotat : les parents restent insatisfaits

Après de nombreuses réclamations, la mairie de La Ciotat a changé de prestataire. Mais dans les assiettes, le compte n'y est toujous pas, selon des parents d'élèves. 
 
Depuis un an, La Ciotat a changé de prestataire pour les repas servis dans les cantines scolaires, mais les problèmes persistent, selon les parents d'élèves. Des témoignages alarmants font état de repas insatisfaisants et de conséquences sur la santé et le bien-être des enfants.
 
"ILS SONT COMPLÈTEMENT AFFAMÉS !"
 
"Les petits se jettent littéralement sur le goûter en rentrant à la maison", déclare un parent. "Ils sont complètement affamés car le repas n'est jamais bon à la cantine", ajoute un autre. Des témoignages récurrents mettent en lumière des goûts étranges et des odeurs suspectes dans les plats, poussant certains enfants à ne consommer que le dessert.
 
La municipalité reconnaît la gravité de la situation et ouvre le dialogue avec les parents pour trouver des solutions. "Le problème vient des cuisines centrales, où le profit prime avant la qualité et la quantité", souligne une observatrice. "Les directives de diététiciens négligent les besoins individuels des enfants, et la nourriture est insipide en raison des restrictions budgétaires."
 
PAYER UN PEU PLUS ?
 
Certains parents suggèrent que les municipalités et les écoles reprennent le contrôle des cantines pour garantir des repas de meilleure qualité. "Les parents accepteraient de payer un peu plus pour de la qualité et de la quantité", affirme-t-on. "Il y aurait tant de possibilités, si seulement on s'en donnait la peine."
 
Cette situation soulève des questions sur les priorités des entreprises prestataires, mettant en évidence la nécessité de réexaminer les processus de sélection et de surveillance. En attendant, les parents restent mobilisés pour assurer que leurs enfants reçoivent des repas sains et nourrissants à l'école.
 
Photo : illustration - DR
La rédaction

La Ciotat : évacuation d'urgence d'un immeuble "en péril" dans le centre-ville

Encore une mise en péril et des habitants évacués d'un immeuble présent dans le centre-ancien de La Ciotat. Cette fois, il s'agit du 29 rue du Grand Madier. Progressivement, le centre-ancien de La Ciotat est-il en train de s'effondrer ?
 
Mardi 21 février, une opération d'évacuation a été menée dans une partie de l'immeuble situé au 29 rue du Grand Madier. Les services municipaux sont intervenus en raison d'un risque imminent lié à un plancher et à un mur menaçants entre le rez-de-chaussée et le premier étage de ce bâtiment à deux niveaux, a annoncé la municipalité.
 
Selon un restaurateur, proche de l'immeuble, l'alerte aurait été déclenchée suite à un dégât des eaux, révélant une poutre complètement moisie qui était dissimulée par un coffrage.
 
L'immeuble en question abrite six logements au total, soit deux par étage. Suite à l'expertise, il a été conclu que les habitants des quatre appartements situés au rez-de-chaussée et au premier étage devaient être évacués en raison du danger imminent.
 
La Ville a assuré que le Centre communal d'action sociale (CCAS) prendrait en charge le relogement d'un couple avec un enfant concerné par cette évacuation.
 
DES BASSINES POUR RÉCUPÉRER L'EAU DES FUITES
 
Le deuxième et dernier étage de l'immeuble reste quant à lui accessible. Cette situation rappelle celle de l'immeuble de la pharmacie du Port au 33 quai François-Mitterand, ainsi que celle de l'immeuble abritant au rez-de-chaussée, un pub tous deux confrontés à des problèmes structurels récents.
 
Sans oublier, l'effondrement récemment d'une partie de l'escalier du 27, rue Edgard Quinet. Ces événements soulignent les défis auxquels le centre ancien est confronté en matière de sécurité des bâtiments. 
 
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Au 27, rue Edgard Quinet, la réparation de l'escalier qui s'est en partie, écroulé le 7 février, a débuté. (Photo : ©Fréquence Nautique)
 
RÉHABILIATION ? VINGT ANS DE PROMESSES POLITIQUES
 
Lors de notre reportage ce vendredi matin, un riverain nous explique que par temps de pluie, "certains propriétaires installent des bassines pour récupérer l'eau qui traverse la toiture sans se soucier des conséquences à long terme, sur des structures fragilisées par leur ancienneté". 
 
Sur le plan politique, depuis plus de 20 ans, le centre-ancien de La Ciotat fait l'objet de plusieurs projets de réhabilitation et de nombreuses promesses pour au final, regarder aujourd'hui, les incidents et les mises en péril s'accumuler au détriment des habitants. Jusqu'à quand ? 
 
Photo : ©Fréquence Nautique
La rédaction

La Ciotat : un larve d'insecte découverte dans de la viande hachée ?

Dans une publication diffusée ce jeudi sur un réseau social de La Ciotat, une consommatrice indique qu'elle aurait découvert une larve d'insecte dans de la viande hachée achetée selon elle, dans une grande surface. 

Une femme a récemment partagé sur un réseau social de La Ciotat, une photo choquante d'une larve d'insecte trouvée dans de la viande hachée, selon ses dires. L'internaute aurait affirmé avoir fait cette découverte après avoir acheté de la viande dans une grande surface hier matin.
  
Depuis, la publication suscite une vague d'indignation parmi les internautes, qui expriment leur préoccupation quant à la qualité des produits alimentaires vendus dans les supermarchés.
  
La consommatrice déclare qu'elle aurait informé la direction du magasin de cette trouvaille dérangeante et qu'elle doit désormais se tourner vers le service consommation pour obtenir des réponses.
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Ci-dessus la capture d'écran du message publié ce jeudi 22 fevrier 2024, sur un réseau social de La Ciotat, dont la photo de la larve d'insecte. (Facebook)
  
À ce stade, aucune confirmation officielle n'a été donnée par les autorités sanitaires ou par le magasin concerné. Une enquête devra vérifier les allégations de la consommatrice et déterminer l'origine de la larve.
  
Toutefois, les consommateurs sont invités à rester vigilants et à signaler tout problème similaire aux autorités compétentes afin d'assurer la sécurité alimentaire pour tous.
 
Photo titre : illustration ©Fréquence Nautique
La rédaction

La Ciotat : une pharmacie ferme pour cause de "danger imminent"

Un arrêté de péril imminent touche une partie de l’immeuble du n°33 quai François Mitterrand à La Ciotat depuis le 15 février dernier. 
 
La pharmacie du port, située au 33 quai François Mitterrand à La Ciotat, a dû récemment fermer ses portes suite à une découverte inquiétante lors d'un chantier de rénovation entamé début février.
 
Malgré les travaux en cours, l'officine avait continué à accueillir ses clients. Cependant, la semaine dernière, un évènement inattendu a contraint la gérante à annoncer la fermeture temporaire de l'établissement sur sa page "Facebook", évoquant des "problèmes techniques" et notifiant les services municipaux.
 
UNE POUTRE POURRIE
 
Lors du dégarnissage du plafond, les ouvriers ont mis au jour une poutre principale, sérieusement dégradée par la pourriture. Suite au rapport d'un expert mandaté par la municipalité, l'adjoint délégué à la sécurité a émis un arrêté de péril imminent pour une partie du bâtiment, le 15 février dernier.
 
Le rapport de l'expert a mis en lumière des risques structurels dans l'immeuble, conformément à la procédure en vigueur. Cette mise en péril a entraîné la fermeture administrative de la pharmacie du port, ainsi que l'interdiction d'accès au premier étage - qui était jusqu'alors inoccupé - jusqu'à nouvel ordre.
 
POUR LE "AIRBNB", LES ÉTAGES RESTENT ACCESSIBLES
 
En revanche, le deuxième et dernier étage, destiné à la location "Airbnb" pour les équipages de bateau, reste accessible.
 
Face à cette situation inattendue, l'équipe de pharmaciennes a recommandé à sa clientèle de se tourner vers les autres pharmacies de la ville en attendant la réouverture de l'établissement.
 
Photo : ©Fréquence Nautique
La rédaction

Bâtiment : une arnaque de 800 000 euros à Marseille et aux alentours

Le parquet de Marseille a révélé ce mercredi 21 février 2024 une saisie spectaculaire de 800 000 euros d'« avoirs criminels », mettant ainsi fin à une escroquerie d'envergure dans la région.
 
Les autorités ont mis au jour un réseau sophistiqué ciblant principalement les personnes âgées et vulnérables, leur soutirant des sommes considérables sous le prétexte fallacieux de travaux de rénovation souvent non nécessaires.
 
L'arnaque, qui aurait touché environ 300 victimes dans différentes communes autour de Marseille, a été estimée à plus de trois millions d'euros. Les escrocs, opérant au sein de sociétés frauduleuses ou en tant qu'individus travaillant pour ces entreprises, ont usé de divers subterfuges pour persuader les propriétaires de signer des contrats de travaux.
 
Ils ont notamment invoqué de prétendues nouvelles normes et la mise à jour d'un fichier national des maisons de plus de dix ans, inexistantes en réalité, afin de justifier la nécessité de ces rénovations.
 
Les victimes étaient ensuite incitées à verser un acompte ou à autoriser un prélèvement immédiat en échange d'un prétendu tarif préférentiel. Pour sceller l'accord, les escrocs contraignaient les consommateurs à renoncer à leur droit de rétractation, les privant ainsi de toute possibilité de recours. Les montants escroqués, s'élevant en moyenne à 8 000 euros, ont parfois atteint plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Cependant, contrairement à l'aspect frauduleux de la transaction, les travaux effectués étaient bel et bien réalisés. Cette astuce servait à brouiller les pistes et à instaurer une apparence de légitimité à leurs actions.
 
Face à cette escroquerie de grande ampleur, les autorités ont ouvert mi-janvier une enquête préliminaire pour « pratiques commerciales trompeuses en bande organisée et non-respect des règles de la vente à domicile et blanchiment ». Il est rappelé que dans le cadre des ventes réalisées au domicile du consommateur, les professionnels sont strictement tenus de respecter un délai de réflexion de sept jours avant tout paiement.
 
Cette affaire met en lumière la nécessité d'une vigilance accrue, notamment à l'égard des personnes vulnérables, face aux pratiques frauduleuses qui sévissent dans le domaine des travaux de rénovation.
 
"PERSONNES ÂGÉES ET VULNÉRABLES" 
 
Le parquet de Marseille a révélé ce mercredi 21 février 2024 une saisie spectaculaire de 800 000 euros d'« avoirs criminels », mettant ainsi fin à une escroquerie d'envergure dans la région. Les autorités ont mis au jour un réseau sophistiqué ciblant principalement les personnes âgées et vulnérables, leur soutirant des sommes considérables sous le prétexte fallacieux de travaux de rénovation souvent non nécessaires.
 
L'arnaque, qui aurait touché environ 300 victimes dans différentes communes autour de Marseille, a été estimée à plus de trois millions d'euros. Les escrocs, opérant au sein de sociétés frauduleuses ou en tant qu'individus travaillant pour ces entreprises, ont usé de divers subterfuges pour persuader les propriétaires de signer des contrats de travaux.
 
Ils ont notamment invoqué de prétendues nouvelles normes et la mise à jour d'un fichier national des maisons de plus de dix ans, inexistantes en réalité, afin de justifier la nécessité de ces rénovations.
 
MARSEILLE ET COMMUNES ENVIRONNANTES
 
Les victimes étaient ensuite incitées à verser un acompte ou à autoriser un prélèvement immédiat en échange d'un prétendu tarif préférentiel. Pour sceller l'accord, les escrocs contraignaient les consommateurs à renoncer à leur droit de rétractation, les privant ainsi de toute possibilité de recours. Les montants escroqués, s'élevant en moyenne à 8 000 euros, ont parfois atteint plusieurs dizaines de milliers d'euros.
 
Cependant, contrairement à l'aspect frauduleux de la transaction, les travaux effectués étaient bel et bien réalisés. Cette astuce servait à brouiller les pistes et à instaurer une apparence de légitimité à leurs actions.
 
Face à cette escroquerie de grande ampleur, les autorités ont ouvert mi-janvier une enquête préliminaire pour « pratiques commerciales trompeuses en bande organisée et non-respect des règles de la vente à domicile et blanchiment ». Il est rappelé que dans le cadre des ventes réalisées au domicile du consommateur, les professionnels sont strictement tenus de respecter un délai de réflexion de sept jours avant tout paiement.
 
Cette affaire met en lumière la nécessité d'une vigilance accrue, notamment à l'égard des personnes vulnérables, face aux pratiques frauduleuses qui sévissent dans le domaine des travaux de rénovation.
 
Photo : ©Fréquence Nautique
La rédaction

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